vendredi 23 juin 2017

Samedi 17 juin 2017 - travaux au local.

Pose des gabarits en carton sur les marches.
 
COMPTE-RENDU DE LA JOURNEE DE TRAVAIL AU LOCAL

Rédacteur : Patrick Cabrol
Lieu : Local du club à Courniou
Participant : 1
Date : 17 juin 2017
Travail : Réfection des marches de l’escalier qui monte au premier étage.
Temps passé : 8 heures (plus le déjeuner)
 
Travail effectué : Le travail commence à 9 heures. Le but est de doubler les marches présentes qui ne sont pas belles et qui présentent quelques faiblesses après avoir rempli de bons et loyaux services durant de longues années.
Étant donné qu’il est très difficile de découper des marches dans des « planches » réalisées à partir de lattes de parquets qui sont encollées pour les joindre, une technique parallèle s’impose pour arriver à s’emboîter au mieux à la réalité….
Le premier travail est de partir à St Pons afin de trouver des cartons assez grand. Notre ami Bernard nous donnera une bonne partie de la matière première.
Les gabarits sont découpés dans ce carton avec des ciseaux et un cutter, ils sont bien ajustés à la marche en place, puis ils sont y déposés sur les planches reconstituées. Les bords sont dessinés au plus proche et la scie sauteuse conclura le travail.
Ce petit jeu, fort simple en apparence a pris de longues heures, la chaleur aidant. En fin de journée, il restait le gabarit de la dernière marche à finir, 4 planches avaient été encollées et serrées grâce à des chambres à air de voiture coupées à cet effet. Il fallait que le tout sèche avant de découper... ce sera la semaine prochaine.
Encollage des planches pour faire des surfaces plus importantes avant la pose des gabarits, puis le découpage.
 
Après déjeuner une heure a été consacrée au rangement des archives. Cela m’a permis de retrouver des documents recherchés depuis un moment, dont le dossier du pillage de la grotte de la Croix en juin 1979. Il est complet, tout est bien là : six personnes ont été arrêtées par la population de Courniou, jugées au tribal de Béziers et condamnée chacune à 3000 francs d’amende. Il s’agit de la première condamnation pour vol de concrétions en France. Ce jugement a donc une valeur historique.
Il y a tellement d’autres documents à ranger qu’il va falloir trouver des étagères !!!
La fraîcheur du rez-de-chaussée tranche beaucoup avec la chaleur torride de la rue, il est bon d’apprécier la douceur de vivre au local  dans de telles conditions.
Suite le week-end prochain !
Un gros morceau de bois permet d'appuyer sur les planches en cours de collage, afin de les mettre horizontales.
PHOTOS : SCMNE - Patrick

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